Petit résumé des faits et de l'historique de ma Honda SLR 650. Je m'excuse davances pour les fautes d'orthographes, j'ai pas encore fait passer le correcteur orthographique (ma copine) sur le texte.

J'achète le SLR en octobre 2002. C'est ma première moto en tant que jeune permis. L'idéal en fait en tant que première moto. Les chutes ne lui font plus peur après avoir taté de la Safrane !!!

Le SLR est déjà transformé en Supermotard par mon pote Cédric, qui me la revend gentillement. Monsieur s'achète un Hornet 600... Pffff
La segmentation est à prévoir mais c'était pas urgent. Plus ça va, plus je me disait que c'était un joint spy de queue de soupape qui fuit. La consomation d'huile allait jusqu'a 1 litres au 1000 selon l'utilisation. Ca me dérangeais pas outre mesures pour commencer.

Voici à quoi ressemble un SLR à l'origine (ce n'est pas le mien, j'ai reçu pas mal de mail me demandant des précisions sur le saute-vent...) :

Le saute vent n'est pas d'origine. Celui-ci n'est pas superflue car le SLR prends le 150 en solo et en position relativement droite sur ce genre de moto, le buste fait office d'une belle voile !
Il me semble que le guidon n'est pas d'origine sur ce SLR. Le reste, clignos, fouches, jantes et cie sont livrés ainsi avec la moto...
Stock sur cette vue... Même la bavette affreuse
Merci à la personne pour les photos, mais je n'arrive plus à en retouvé le proprio !!

Voici à quoi ressemblait la mienne à l'achat :

Au petit chapitre modifications :
- guidon AFAM Flex
- petits clignotants légèrement fumés
- garde-boue bas d'une CBR 600
- jante AV : 17"x 3,5 chaussé de DUNLOP D204
- jante AR : 17"x 4,5 chaussé de DUNLOP D204
- housse Bagster adaptable
-Durites aviation l'avant comme à l'arrière

- protection en plastique des pots enlevé
- bavette coupé sous la plaque
- plaque type scooter, ca passe plutôt bien question esthétique et marée-chaussé
Sinon le reste était stock question freinage, moteur, pots....

Début novembre, à l'abord d'un rond point, une trainés de Gasoil, me fait gouter au bitume pour la première fois. Résultat : 1 mois d'arrêt à cause d'un genou un poil ammoché et surtout à cause d'un empanchement de sinuvi... J'avais le genou comme un ballon de hand. Bien évidement, c'était le seule endroit non protéger !!!

Au mois de décembre, j'inaugure les serrures gelés et prends l'habitude de gardé un briquet dans la poche pour chauffé les clés...

24 décembre, je monte sur la moto pour allé cherché un cadeau de dernière minutes et impossible de la démarrer !!!! GRRRRR !!! 2 ou 3 semaines après noël, la moto chez un pote, redemarrera avec un miracle... Avec le pote, on n'as pas trouvés d'où provenait le soucis ! Elle à redémarré un soir avec le pote...

Février 2003. Je me lance dans le moto-ski...!!!! Bah déjà que les D204, c'est pas la joie sous la pluie, alors sous la neige c'est impressionant cette impression de roulé sur de l'huile !!!

Mars se passe sans problème avec de petites modifications d'ordres ésthétique sur le SLR. Ca feras l'objet d'une autre page.

Et survient les petites vacances du mois d'avril... Avec la copine on avait loué une petite semaine un appartement entre Narbonne et Perpignan. J'avait décidé de descendre sur le mono et ma copine par le train. Départ un poil tardive de la maison, ca m'empecheras pas de roulé peinard pour préserver le moteur. Sur autoroute, petite moyenne de 110-120 km/h, il me restait assez de marge avant la zone rouge... Un peu avant Limoges soit 400 bornes après le départ, le besoin de carburant se fait sentir. Je m'arrête quelques kilomètres plus loin pour faire une pause remplissage de réservoir et d'estomac, vidange de vessie et controle rapide du chargement de la moto ainsi que de la moto elle même. RAS ! Je remets le trip à 0 et me remets en routes après une pause de 20-25 minutes.
40 kilomètres après cette pause, j'ai une soudaine et grosse perte de puissance avec un bruit strident non régulier ; très vite, je choppe l'embrayage en croyant avoir perdu ma chaine un poil fatigué !!! Rapide coups d'oeil en arrière... Rien qui ne se balade sur la route, je regarde la bras oscillant : la chaine est toujours là... ARGGHHHH c'est quoi ce foutoire !! J'aperçoic une borne d'arrêt d'urgence et j'ia le reflexe de m'arrête juste à côté. Une fois arreté, je tente de mettre au point mort. Arf, dur et archi imprécis !!!! Je tente quand même de faire tourné le moteur après quelques minutes de refroidissements et là, le relais s'enclenche mais rien ne tourne. Le démarreur reste bloqué : je présume du pire à ce moment là ! Serrage ou boite de vitesse HS...! Le remorquage est pris en charge par l'assurance jusqu'a un garage à 10 kilomètres de Limoges, je passerais la nuit à Limoges et prendrait le trian pour rejoindre ma copine dans le sud, et tous cela grâce à l'assistance. Superbe vacance gaché, je ne vous racontes mêmes pas toutes les merdes qu'on a eu pour louer une voiture, les prévisions de balades avec la moto non faites...

En attendant d'avoir de l'argent je laisse le moteur telle qu'il est après avoir fait rapatrier la moto avec l'aides de copains très sympa et volontaires (charge de revanche sans problèmes) ! Je ne voulais pas ouvrir le moulin tant que je n'était pas sûr de pas pouvoir le réparer. L'ouvrir pour le laissé les tripes à l'air ne me tantait pas du tous. J'utilisais la voiture de ma copine pendant ce temps là pour faire les 100 Km par jour pour allé au boulot. Série noire continuant, le joint de culasse de l'AX me lache au début juin. J'ai plus qu'as me tapé 1h30 et parfois 2h30 pour rentré à la maison. 4 heures de moyenne de transoport en commun pour allé taffé et gagné une simple misère, c'est la joie ! C'est pas comme ça que je vais réussir à mettre des sous de côté pour retapé le moulbif !

Lorsque j'arrive à mettre de côté un beau petit pécule, je me décide à faire tomber le moteur du SLR. Les problèmes de genou ne m'aidant pas à me déplacé jusqu'a chez le copains, la dépose traineras pendant un mois !!!!!!!! A raison d'une visite par semaine, on fait pas grand chose.

Fin aout, le moteur est tenace et veux pas se détaché du cadre...

Une semaine plus tard, le moteur est enfin sur le chariot à roulettes. On en profite pour viré la couvre-culasse. 2 vis seront impossible à dévisser, une partie resteras dans la culasse pour chaque vis.

Samedi 20 septembre, reste la culasse avant un premier verdict. Je me décide à enlevé la bougie... Je sais que c'est con et que j'aurais dut le faire plus tôt...! La suite du démontage c'est par ici
Ames sensibles s'abstenir, c'est chaud et digne du site Rotten-méca !!